mardi 29 novembre 2011

Je ne dirais pas pourquoi, mais je ne suis plus triste d'être seule.

Il s'agit d'une solitude sociale, pas sentimentale, hein.

Ma situation s'est modifiée, et j'ai eu la possibilité de ne plus être seule. Mais il faut préciser que je suis seule parce que je fuis les gens ; ou plutôt, je veux doser à ma juste convenance mon immersion sociale.

Or, selon les cas, ça n'est pas facile, mais là, c'est à mon avantage. Là, je veux dire, en ce moment. cet avantage me permet de faire aux gens des petits cadeaux, de petits gestes, qui sont le meilleur moyen de créer des relations sociales. Une petite invitation, un petit avantage, pas un gros parce que je n'en ai pas les moyens, et les gens vous regardent, vous remercient, vous n'êtes plus transparente. L'erreur serait ensuite de les harceler pas du tout : je me replie dans mes activités perso, mais j'accepte une invitation par ci par là.

Ça veut dire une par mois, ce qui est grandement suffisant.

Mais c'est bon pour mon ego.

Au lieu de me lamenter de ma solitude, j'appréhende les sorties sociales.... pas du tout la même approche.

dimanche 27 novembre 2011

Les écolos sont-ils toujours cons ?

Hein ? D'abord ?

J'avoue que ce post m'a amusé. je n'aime pas les écologistes. Bien que je sois de gauche, disons de "sensibilité de gauche" (hu hu), je trouve que les socialistes se servent d'idéaux de justice sociale pour leurs propres appétits de pouvoirs.

Eh bien les écolos, euh, se servent de la planète et des petits oiseaux pour se faire entendre. Derrière leurs chants, un ramassis d'illuminés et d'ambitieux qui ne font pas grand chose.

Mais il est vrai qu'un peu de dialogue politique, du vrai, de vrais échanges, ça serait pas mal. Il faudrait pour ça que les écolos qui fantasment redescendent sur terre.

Je dis ça... et tout en la trouvant délirante, j'aime bien le côté râleur et obstiné d'Eva Joly.


vendredi 25 novembre 2011

Je suis vraiment en colère.

J'attends un mail pour le boulot, d'une personne toujours charmante et faux cul avec moi.

Je sais que ça ne passe pas tout à fait bien avec elle pour le boulot en ce moment. Ils sont déçus de notre collaboration, et en même temps, ils ne se sont pas donné du mal pour que ça marche. Moi si, mais laborieusement.

J'ai l'impression de hurler dans le vide.

J'envoie des mails aux quels on ne me répond pas, je sais que je ne peux pas trop déranger parce que ça ne se fait pas. leur attitude, c'est de me laisser libre, sans me donner trop de dérective, au nom de la liberté.

Ça ne marche pas trop.

Je préfèrerais qu'ils me disent ce que je dois faire.

Je sens qu'ils ont envie de me décourager, de me lasser. De garder ce sourire et de mefaire des coups en vaches avec.

Ça m'est égal car j'ai d'autres projets mais ce silence m'agace, je voudrais une bonne discussion franche et c'est impossible....

Depuis le début c'est impossible.

je travaille avec un masque social et je ne discerne pas la réalité avec. Mais si je l'enlève, ce'st unf aux pas.


Je fais donc semblant que tout va bien, en sachant que els conséquences négatives de ces rapports étranges vont se faire sentir (aucun nouveau contrat ne sera signé).
Je fais semblant car pas question de montrer ce que je ressens, la frustration....

Mais je n'aime pas.

dimanche 6 novembre 2011




Le patron du groupe de BTP Eiffage, Pierre Berger, a été interviewé par le JDD aujourd'hui et selon lui, un audit interne révèle 50.000 euros de dépenses indues depuis 2009 pour des "parties fines" et des voyages.

Dans cette affaire, le directeur d'une des filiales du groupe dans le Nord-Pas-de-Calais, mis en examen pour proxénétisme aggravé en bande organisée et écroué, a aussi été mis à pied par Eiffage, qui a porté plainte avec constitution de partie civile pour abus de biens sociaux.

Le PDG : "C'est une affaire David Roquet, pas une affaire Eiffage. J'ai pris plusieurs décisions. D'abord celle de mettre à pied David Roquet et d'engager sa procédure de licenciement. Puis j'ai demandé un audit interne dont j'ai eu les résultats en fin de semaine".
Cet audit indique onze "parties fines", payées par David Roquet, et des voyages pour un montant total d'"environ 50.000 euros depuis 2009".

Mais personne n'était au courant, chez Eiffage. Le supérieur hiérarchique a été mis à pied, tout va être mis sur la tête du cadre, mais comment la compta a-t-elle pu laisser passer une telle somme ?

Il délire, le PDG ?